La vidéo que je vous présente aujourd'hui se suffit à elle-même. Je reviendrai sur l'ensemble de l'"affaire Dieudonné" qu'il est primordial de bien comprendre pour assimiler toutes les subtilités du parfum nauséabonde du deux poids deux mesures en France. Ardisson pose les limites de la liberté d'expression : en tant que douanier de l'empire judéo-chrétien sur le service publique, il n'y a de laisser-passer que pour les barbares civilisés. Dieudo le négro et Djamel l'islamo tiennent le regard et gardent leur froc, des actes terroristes caractérisés qui justifient une mise en quarantaine médiatique.
Quand un homme aussi brillant que Monsieur Enrico Macias prend la parole, c'est toujours un moment particulier. Le Temps s'arrête parfois pour immortaliser un instant béni des dieux, durant lequel tous nos sens sont en éveil maximal devant le Saint Esprit. "Israël a une puissance qui peut régler le problème en une heure, le problème palestinien, mais on fera jamais comme on a fait à nous, on le fera pas". Aussi divine cette élocution soit-elle, je me risque à tenter une analyse rationnelle. Clairement, les palestiniens sont un problème pour notre musicien virtuose. Mais ils représentent un danger suffisamment mortel à ses yeux pour évoquer l'utilisation de la force militaire, voire de la bombe atomique. Régler le problème en une heure, c'est donc exterminer 1,5 millions d'êtres humains en une heure. Heureusement, Enrico le magnanime affirme que lui et ses copains ne le feront pas. Je me prosterne devant tant de sagesse et de compassion. On aurait donc éliminé 1,5 millions de juifs en une heure lors de la seconde guerre mondiale. Tous rassemblés à Hiroshima et Nagazaki? Ce qui me frappe le plus chez ce sioniste désormais convaincu et convaincant, c'est le mépris avec lequel il nous chie sa connerie. Appréciez vous-même en visionnant la vidéo. Je précise que cet article porte uniquement sur les propos tenus par Enrico Macias.
Je voudrais vous parler du 11 septembre, la crème de la crème des sujets controversés, le Sacré du Sacré, l'objet ultime du blasphème politique. Et quel meilleur gode que Jean-Marie Bigard pour s'enfiler dans l'anus artificiel que représente la Pensée Unique. Petit rappel des faits : Septembre 2008 sur Europe 1, Bigard émet des doutes quant à la fiabilité de la version officielle des attentats du World Trade Center. Son entorse au règlement intérieur du Système le pousse à exprimer ses excuses les plus sincères la semaine suivante. Ben oui, après tout, il a le droit de vouloir continuer à travailler et, par la même occasion, à être invité sur les plateaux les plus prestigieux de la télévision. S'en suit un exceptionnel "engouffrement dans la brèche" du bouffon préféré des français. Non seulement il va persister, signer et parapher toutes les pages de son manuel du parfait théoricien du complot, mais il va en plus le faire avec un talent et un professionnalisme qui force le respect. Oui, Bigard connait le sujet, il le maitrise au moins aussi bien que les journalistes et personnalités "experts" en 11 septembre dans la mesure où il a potassé de A à Z le rapport officiel de l'enquête officielle par des spécialistes officiels. A un détail près : les dits journalistes et personnalités qui se présentent comme les experts incontestables du 11 septembre n'ont jamais lu le dit rapport. On se retrouve donc avec une bande d'abrutis (à propos de ce sujet précis en tout cas) qui démontent, comme ils le peuvent, et avec leurs armes, les arguments de Bigard. Méthode employée : le classer dans la maudite colonne des "théoriciens du complot". Qui sont-ils? et bien ce sont des hommes et des femmes (les plus proches du singe et du Nazisme, pédophiles et zoophiles pour la plupart) qui nient le 11 septembre. C'est-à-dire que pour ces gens-là, il n'y a pas eu d'attentat, ni de détournement d'avion, et encore moins d'effondrement des deux tours. Voici ce que sont les "théoriciens du complot" pour les "théoriciens de la Vérité Absolue" : des nieurs compulsifs. Ni une, ni deux, les voilà qu'ils se mettent à nier la Shoah, l'Evolution, la Big Bang... C'est dire si ces palestiniens de la Pensée sont dangereux. C'est évidement tout le contraire. Le dénonciateur est celui-là même qui doit être dénoncé. Il est lâche, malhonnête, volontairement aveugle. Le dénoncé, Bigard, tente en vain d'ouvrir les yeux conjonctivés de ses accusateurs impitoyables. Car Bigard ose s'attaquer à l'impitoyable. Et il ne s'attendait sans doute pas à un tel retour de bâton. Il faut dire que les menaces de mort ont tendance à calmer le plus fougueux des révolutionnaires. Il n'hésitera pas pour autant à renvoyer plusieurs crottes de nez dans la face de ses juges en 2009, à grands coups de vidéos sur dailymotion, toutes plus pertinentes les unes que les autres. Tout y passe : les passeports retrouvés intactes ou presque dans les décombres, Silverstein, les chasseurs américains qui ne décollent pas, l'avion ou plutôt "non-avion" du Pentagone, la démolition/effondrement des tours, les appels téléphoniques mythiques passés dans les avions et j'en passe... Ces frasques ne resteront pas sans réponse : il devra de nouveau répondre de ses actes infâmes. De leur côté, les hommes de Lumière, détenteurs de la Vérité, défenseurs de la version officielle, et probablement messagers de Dieu, ne changent pas d'un iota leur ligne de conduite : diaboliser leurs "théoriciens du complot" - ceux qui ne voient pas les avions percuter les tours... Mais de qui diable ont-ils peur pour empêcher quiconque d'avoir la moindre réflexion sur l'évènement majeur de ce début de siècle, déclencheur de guerres et porteur de Mort? en théorie de la Barbarie, mais en application, de la fin de plus en plus proche et inéluctable du règne de leur Empire. Le Terrorisme est en eux..
Je voudrais vous parler de cet incident survenu lors du passage de John Kerry à l'Auditorium de l'université de Floride en septembre 2007. Un étudiant, Andrew Mayer, a profité de l'opportunité de s'exprimer au micro pour mettre en cause le sénateur et lui poser des questions pour le moins dérangeantes et "politiquement incorrectes". Apparemment, le politiquement incorrect a ses limites car le son a été coupé au moment où l'étudiant interpellait Kerry sur son appartenance à la société "secrète" Skulls and Bones. L'interpellateur est devenu l'interpellé et a aussitôt été maitrisé par les forces de l'Ordre, petite décharge de Taser à la clé histoire de calmer le vilain garçon. Je n'ai même pas envie de parler de cette société secrète de l'université de Yale. Elle n'a d'ailleurs de secret que le contenu des différentes réunions (ou rituels?) de ses membres. Ce qui me frappe dans cette vidéo, c'est la censure aussi visible et caractérisée, à tel point qu'on a l'impression d'assister à une mise en scène élaborée dans un seul but : montrer au monde entier combien l'ultra démocratique pays de l'Oncle Sam est en réalité corrompu au plus haut point. Un Etat dans lequel ses citoyens ne peuvent s'exprimer sur certains sujets sensibles au risque d'être réprimandés est assurément un Etat très malade. Qui me parle de la France et de la question Israélienne? Je vous laisse profiter pleinement de ce grand moment de liberté d'expression : une leçon made in USA!!
Il faut bien commencer par quelque chose, et je commence par quelqu'un : JFK, assassiné en 1963 à Dallas et dont la famille a été victime d'une étrange malédiction. J'aimerais attirer l'attention sur le discours qu'il a prononcé deux ans avant son décès (nous reviendrons certainement sur les circonstances plus que douteuses de cet évènement...). Si vous n'avez jamais entendu parler de ce discours, je vous invite d'ores et déjà à en prendre connaissance en recherchant la vidéo (il en existe plusieurs montages) sur youtube et dailymotion ou en regardant un petit résumé ci-dessous :
Comme indiqué plus haut, il existe plusieurs déclinaisons de cette vidéo dont certaines me paraissent particulièrement intéressantes dans le cadre du futur article que je publierai et dans lequel je parlerai de l'étudiant qui a été pour le moins chahuté par des agents de sécurité lors du passage de John Kerry à l'université de Floride en 2007. Mais restons-en à ce cher JFK qui m'a réellement impressionné sur ce coup-là. Tenir de tels propos, retransmis à la télévision et à la radio, relèvent de l'exploit si ce n'est d'une idéologie kamikaze, et je n'ai pourtant aucune information sur les origines potentiellement japonaises de Kennedy. Il évoque ainsi une "conspiration massive et impitoyable", un "système" complexe, et même une "machine d'une efficacité redoutable". Je ne citerai pas davantage ce qui est dit dans ce discours, mais chaque phrase prend un sens quasi dramatique dans le contexte actuelle de notre début de siècle. Il nous décrit un arbre complètement pourri des feuilles aux racines et une forêt probablement déjà contaminée par la moisissure et je me demande dans quel état de délabrement elle se trouve aujourd'hui en 2010. Je crois que nous pouvons d'ores et déjà placé cet homme dans la catégorie des "théoriciens du complot". Il en présente tous les symptômes. Et il va probablement m'accueillir dans son cercle maudit puisque je vais moi-même poser la question suivante : au delà de la question (que je développerai très largement plus tard) de l'existence même de ces "sociétés secrètes", y aurait-il par hasard un lien de cause à effet entre ce discours et son assassinat deux ans plus tard? Je prends le risque de vous suggérer une réflexion sur la question.
En guise de conclusion, je vous livre en pâture les "théories de la Conspiration" sur l'assassinat de Kennedy (source Wikipedia).
* Les milieux financiers américains car le 4 juin 1963, Kennedy autorisa l'émission de nouveaux United States Note adossés aux réserves d'argent du gouvernement fédéral, et quelques 4 milliards de dollars en petites coupures furent émises, menaçant le monopole d'émission de la monnaie de la Réserve Fédérale et de ses actionnaires privés.
* Le vice-président Lyndon Johnson qui aurait organisé ou participé à l'assassinat. Johnson est une des personnes qui avaient le plus à gagner de la mort du Président, puisque celle-ci faisait de lui le Président. Johnson est parfois décrit comme un homme aux abois avant l'assassinat : Kennedy aurait envisagé de ne plus le prendre comme candidat vice-Président pour les élections de 1964 notamment à cause des enquêtes criminelles en cours au sujet de Johnson (pour trafic d'influence, détournement de fond, blanchiment d'argent et corruption) qui s'arrêtèrent ou furent abandonnées après que Johnson fut devenu président. Autre argument en faveur de cette thèse : LBJ (Lyndon Ben Johnson) était du Texas, l'Etat où a été assassiné JFK, le Texas était l'Etat de LBJ ; il en était le gouverneur et était issu du milieu texan ; toutes les affaires dans lesquelles il était mouillé de près ou de loin (assassinats etc) avaient théâtre le Texas ou les Etats adjacents (le Nouveau Mexique par exemple). LBJ n'était peut-être pas le conspirateur du début à la fin de l'opértion, mais il est possible qu'il se soit entendu avec l'extrême-droite sudiste, la mafia et la CIA pour leur permettre d'assassiner le président (rôle de la mafia) et d'étouffer l'affaire (rôle de la CIA, et surtout de Alan Dulles) ; LBJ en tant que maître de la justice et de la police texane permettait simplement aux uns et aux autres leurs allée et venues.
* Le «complexe militaro-industriel des États-Unis d'Amérique» , qui se préparait à une escalade au Viêt Nam et qui savait que le Président avait envisagé le retrait des troupes américaines présentes au Viêt Nam.
* La CIA ou des agents hors de contrôle de la CIA, qui auraient tué Kennedy pour diverses raisons, notamment pour son manque de soutien au débarquement de la baie des Cochons et pour diverses menaces que l'administration Kennedy faisait peser sur l'indépendance de l'agence. (Kennedy aurait declaré en privé que la CIA l'avait manipulé pour qu'il donne l'ordre d'envahir Cuba. Cependant, on sait par ailleurs que les Kennedy voulaient la mort de Fidel Castro.) D'autre part, l'ancien chef de la CIA, Allen Dulles, premier directeur de l'agence, avait été renvoyé par Kennedy après le fiasco de la Baie des Cochons et Dulles aurait cherché à se venger. Dulles a été nommé par Johnson à la commission d'enquête Warren chargé de faire la lumière sur l'assassinat, d'où le soupçon de connivence entre les deux hommes.
* L'extrême-droite américaine, qui aurait tué Kennedy car celui-ci s'apprêtait à révéler les liens étroits entre une partie de l'etablishment américain et les nazis jusqu'à Pearl Harbour (une thèse reprise par Sulitzer dans son thriller Puits de lumière). Elle trouvait Kennedy trop doux avec Cuba (il refusait l'emploi de l'USAF lors de la baie des cochons), trop doux avec l'URSS (il acceptait le dialogue avec Khrouchtchev), trop doux avec les Noirs (soutien à Martin Luther King et aux droits civiques dans le Sud)... tout ça faisait beaucoup pour un seul homme, fut-il président des USA... Le jour même de l'arrivée de JFK à Dallas (fief sudiste), l'extrême-droite (affiliée au KKK) distribuait des tracts anti-Kennedy intitulé "Recherché pour Haute Trahison"... Le général Charles de Gaulle a toujours pensé que l'extrême-droite était à l'origine de l'assassinat de Kennedy.
* Les pétroliers, en raison des millions de dollars qu'allait leur coûter un changement fiscal planifié par Kennedy.
* La mafia de Chicago aurait assassiné le Président (ainsi que son frère, Robert Kennedy, en 1968) en raison des menaces que l'administration Kennedy faisait peser sur le crime organisé. En effet, l'administration Kennedy voulait faire arrêter Jimmy Hoffa, un syndicaliste qui participait au blanchiment d'argent de la mafia italo-américaine de Chicago, à travers un complexe système utilisant l'argent de la caisse de retraite des Teamsters. C'est Sam Giancana, boss de l'Outfit à l'époque qui aurait fait tuer les frères kennedy. De plus, John Kennedy n'avait pas payé sa dette envers la mafia pour son aide lors des élections de 1960 à Chicago. Il fut par ailleurs démontré que la mafia avait collaboré avec la CIA dans le cadre de tentatives d'assassinat de Fidel Castro et que celle-ci avait donc également un intérêt particulier à l'égard de Cuba. De plus, Kennedy et Giancana avaient une maîtresse commune, Judith Campbell. Celle-ci entama une liaison avec le président américain, qui durera jusqu'à l'été 1962, tout en étant parallèlement avec Giancana. Les liaisons Campbell-Kennedy-Giancana sont citées publiquement pour la première fois en 1975. Judith Campbell en profita pour expliquer sa théorie sur l'assassinat de Kennedy. Selon elle, Kennedy fut assassiné par la mafia de Chicago, plus précisément par Sam Giancana, car il aurait utilisé la Mafia pour être élu président et l'aurait abandonnée ensuite, déclarant une guerre totale au crime organisé.
* Des exilés cubains anti-castristes entraînés et travaillant d'ailleurs pour la CIA qui auraient tué Kennedy également en raison de la Baie de Cochons et du manque de soutien de l’administration aux actions contre Castro.
* Fidel Castro qui aurait pu vouloir se venger des multiples tentatives américaines de le renverser ou de l'assassiner. Certains, estimant que cette hypothèse est démentie par l'existence de contacts secrets entre Kennedy et Castro, analysent cette hypothèse comme une tentative, par la mafia, de détourner l'attention. Il est d'autant plus stupide de penser que Castro ait voulu assassiner JFK que lors de la baie des cochons c'est lui qui avait empêché l'US Air Force de bombarder Cuba (à la grande fureur de la CIA).
* Le Ku Klux Klan qui reprochait à Kennedy son soutien à Martin Luther King.
* Israël qui aurait voulu se venger des pressions relatives à son programme nucléaire.
* Des sionistes en colère contre Kennedy pour sa non-reconnaissance d'Israël.
* Le président vietnamien Ngo Dinh Diem aurait découvert les plans américains pour le renverser, et son plan pour tuer Kennedy afin d'arrêter ces plans aurait été à son terme malgré le coup d'État dans lequel Diem trouva la mort le 1er novembre 1963
* Le KGB pour venger l'humilation de la crise de Cuba.
* Un groupe de "patriotes" américains qui aurait tué Kennedy en raison des risques de troisième guerre mondiale que son inexpérience faisait courir au pays.
* Aristote Onassis et son groupe d'Illuminati qui aurait assassiné le Président pour des raisons obscures.
* Charles Harrelson (1928-2007) père de l'acteur Woody Harrelson, emprisonné pour avoir tué le juge "John H. Wood, Jr." le 29 mai 1979 ; en 1982 Charles Harrelson a prétendu avoir participé à l'assassinat de John F. Kennedy. Dallas Channel 4, 1982.
* Un groupe de personnes qui aurait été outré des frasques extraconjugales et aurait voulu venger son épouse.
* Kennedy lui-même, qui aurait planifié son assassinat comme une forme de suicide que sa foi lui interdisait. Ceci aurait été justifié par ses maladies et les souffrances qu'elles lui faisaient subir.
* Des tueurs européens liés à la mafia européenne auraient utilisé un groupe d'assassins de la mafia corse.
Selon certaines théories, Kennedy ne serait pas mort.
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Aux frontières du Chaos et de l'Anarchie Originelle...
Je présente mes excuses les plus profondes à tout visiteur qui se sentirait offensé par l'un de mes articles. Je choisis volontairement de me placer au limite de la "bien-pensance", et, par la même occasion, de la liberté d'expression...